EN TERMES ELEGANTS ET POETIQUEMENT DE SURCROÎT, LES MOTS SECOURENT LES MAUX !!!

A CES ANCIENS QUI AURAIENT HYPOTHÉQUÉ HONTEUSEMENT LE DEVENIR ET LE FUTUR DE LEURS HÉRITIERS ENFANTS…

Je reçois ce poème que l'un de mes "vieux" amis m'a transmis qui, lui-même avait dû l'avoir de ses relations, et comme je souhaitai que beaucoup de monde en profite tant c'est bien dit et agréablement amené, je le partage avec VOUS, espérant que vous serez aussi nombreux que possible pour vous en amuser... Car au-delà du vieillissement naturel, et de ce que nous avons bâti les uns et les autres pour assurer notre vie, notre avenir, penser nous garantir contre les avatars de la vie et permettre à nos enfants des jours meilleurs, là nous restent l'arthrose, la souffrance des petits et/ou grands maux, mais aussi ce foutu chantage permanent, pernicieux, vicieux, pervers de la solidarité, la fraternité, la charité, la pitié pour ceux qui à cause de nous se seraient importés chez nous, et/ou exportés de chez eux pour des fausses bonnes raisons et faux bons alibis , et surtout purement fabriqués par des experts en neuroscience, et avec lesquels nous n'avons la plupart du temps rien à voir... Sauf que vous seriez, si l’on en croit ces « escrocs maîtres chanteurs » promouvant ce chantage à la charité, devenu soit UN Tonton Cristobal "le cul cousu de pesos immérités" qui s’ignore, soit un Harpagon assis sur son tas d'or", en somme ce qu’on nomme un PRIVILEGIE de la VIE, et que vous vous devez de partager ce que vous n'avez plus à vous, ni pour vous!!

C'est à dire que depuis des décennies l'impéritie politique des DIRIGEANTS GOUVERNANTS de tous Pays confondus veulent nous rendre responsables de leur manque de discernement et de d'efficacité politiques !!!!!!

Par contre j’ai trouvé élégant et bien composé cette façon de voir par son auteur pour exprimant et transmettant par écrit au Président MACRON la pensée majoritaire de cette Catégorie des Anciens du peuple Français sur sa conduite politique et cette façon de diviser notre Nation entre Jeunes et Vieux…. Preuve qu’il n’est pas obligatoire d’être passé par l’E.N.A. pour raisonner intelligemment.

M. Yvan BUONOMO-34200 SETE- Retraité du secteur privé ( Bâtiment et industrie )- Quintuple champion de France Rugby (1971-72-74-80-81) Club Béziers Et international

Au nom des vieux travailleurs retraités qui ont œuvré pour l’économie Française.

A Monsieur Le Président de la République-

(55 rue du Faubourg Saint Honoré-75008 PARIS);

On compte en petits sous, vous comptez en milliards.

La flamme de l’espoir, chez nous, elle vacille,

Vous, par votre fonction, vous pensez qu’elle brille !

Les ailes du pouvoir vous ont fait envoler,

Vers des cieux bien lointains à ne plus avoir pied ..

Eloigné du réel et du tout quotidien,

Souvenez-vous, qu’en bas, habitent des humains.

Pourquoi punissez-vous notre caste vieillesse ?

Pourtant elle a trimé toute sa vie durant !

Elle a sacrifié sa si belle jeunesse,

Cela fut bien trop tôt, dès l’âge de quinze ans ;

Des huit heures par jour, et six jours par semaine, 

Sans congés, ou si peu, nous passâmes ce temps,

A bâtir notre toit à s’en péter nos veines,

Pour être à l’abri aux vieux jours arrivant.

Non ! On n’a rien volé !… Si ce n’est de nos ailes !  

On avait des principes, on faisait son devoir, 

On ne quémandait pas aux belles demoiselles

’Ces caisses de l’état, ces faciles abreuvoirs. ‘‘

Avec nos seules mains, et beaucoup de fierté

On travaillait très dur du matin jusqu’au soir ;

Oui ! C’était notre honneur, notre esprit du clocher,

Animé par un mot qui s’appelait ‘’ Espoir’’ :  

L’espoir pour nos vieux jours avant l’éternité,

De voir un coin de bleu, avant le grand trou noir.

Monsieur le Président, toute notre jeunesse

On paya la vignette pour aider nos aïeux,

Elle servait, déjà !… A renflouer des caisses, 

Cet argent disparu à ‘’La barbe’’ des vieux !....   

Solidarité ! Généreuse rengaine,

Que vous chantez à ceux qui travaillent, et peinent,

Et ‘’Piquez notre argent’’ pour tous les endormis,

Qui eux ! N’hésitent pas à rester dans leur lit....

Nous, nous avons vécu sans aide !… Mais de promesses !!!!!

En vrai chef de famille assumant son foyer,

Quand vous nous ponctionnez pour ‘’ La pauvre jeunesse ‘’

Sur nos retraites acquises en toute honnêteté,

On s’insurge, Monsieur ! Plutôt, on se révolte !

Devant votre justice vraiment imméritée,

Car votre doigt pointé sur le lieu de récolte,

A désigné les vieux comme gens argentés.

Est-ce que vous savez ce qu’est une famille ?

Vous qui n’avez pas, et n’aurez pas d’enfant.

Nous, nous aspirions qu’à un moment tranquille,

Gagné par le travail, la sueur et le sang.

C’est drôle ! Hilarant ! C’est même pitoyable,

Quand un énarque dit : « C’est pour l’égalité »

Mais octroie des pensions de façon lamentable,

Aux vieux venus d’ailleurs, qui n’ont pas travaillé.

Elle est belle Monsieur ! La généreuse France,

Dans ses excès de zèle et de Fraternité !

Ecoutant vos Ministres, on a froid dans le dos,

Ils clament que les vieux on fait leur temps sur terre ;   

De Gaulle avait dit :  « Les Français sont des veaux »

Ouvrez des abattoirs pour tous les volontaires,

Mais je vous le parie, ce sera un fiasco.

Et pas de bousculades au ‘’ Marin cimetière ‘’.

Nous préfèrerons nous rappeler d’un mot

Fuir et embarquer pour ‘’ l’Ionienne Cythère’’ 

Vos soumis maroquins, jurent et promettent,

Qu’il n’y aura jamais plus, de taxes, et d’impôts.

Mais le lendemain ils se trouvent très bêtes

A l’annonce subtile, d’augmentations de taux.

Vous devriez conseiller à tous vos bons Ministres,

De parler de cela, que les premiers Avril,

Leurs propos qui sont, des plus anthraconistre,

Feraient de bonnes blagues en ce jour puéril.

Vous rejetez les vieux, vous n’aimez pas la pierre,

Car votre patrimoine, vide d’immobilier

Laissait bien présager de façon manœuvrière,

Que tout l’intransportable, vous le surtaxeriez ;

Même si pour donner ‘’ En même temps ‘’ le change

Oui ! Vous faites un cadeau ! ‘’Mais qu’offrent les cités‘’ 

Il faut dans nos vieux jours bien plus que du courage,

Pour avoir sa maison, et vivre en son foyer.

L’action et la startup ont votre préférence,

C’est l’immatériel, l’invisible parfait, 

Si cela est pour vous l’avenir de la France,

Il n’est pas pour autant le bonheur des Français.

Vous vous trompez, Monsieur, car vous brisez des rêves,

Les esprits bâtisseurs, déjà désenchantés,  

Ont rangé les outils et mis la pierre en grève,

Et votre économie en est désaffectée.

Taxer ! Taxer ! Taxer ! Ce n’est pas du courage.

C’est même son contraire, et la facilité,

Nous sommes, il est vrai, de dociles otages,

Partir serait pour nous, trop de complexité !

Il vous faut de l’argent ?... Montrez votre puissance !

A tout politicien aux rentes cumulées,

Payez-en une seule ; Ce pas vers la décence, 

Serait déjà un signe de bonne volonté.

Avec tout le respect pour votre Présidence,

- Acquise sans ma voix - Aux prochaines élections,

Je rêve que les vieux de notre ’’Pauvre France ‘’ 

Oublient votre parti, et oublient votre nom.

Je vous prie d’agréer , Monsieur le Président de la république, mes salutations les plus distinguées

Yvan Buonomo