

VIVRE DANS UN MONDE SANS DESSUS/DESOUS, ET/OU… CUL PAR-DESSUS TÊTE, ET/OU… AYANT PERDU LA RAISON, ET/OU…SI ADDICT AU MAL QU’IL BAIGNE DANS UN FORMOL DE CORRUPTION MENTALE ET PSYCHIQUE ET DÉTRUIT SES CAPACITES COGNITIVES…
Être député et faillir à sa mission en se faisant prendre le « doigt dans la confiture » soit acheter de quoi se droguer pour faire la fête,
Être un élu (maire et/ou député et autre) et se vêtir des ors de la République que l’on est sensé servir, dans une manifestation public où l’on appelle à l’intifada
Être élu et aller exercer son mandat à l’Assemblée Nationale en se présentant dans ce PALAIS NATIONAL d’exercice de la Représentation de l’ETAT dans une tenue dénuée de civilité et respect de savoir-vivre, voire convaincu de laisser-aller façon de piétiner sans remords l’Autorité et l’Image et le Rang d’une Mission d’ÉTAT
Être élu et/ou Edile et insulter ses semblables élus au même titre que soi dans cette enceinte, et faire des gestes insultants de garnements immatures dignes de cour d’école primaire (bras et/ou doigt d’honneur et nom d’oiseaux, mêmes brandir des drapeaux étrangers non français, même refuser irrespectueusement de serre la main d’un collègue sous prétexte qu’il serait du RN( parti pourtant élu démocratiquement au sein de l’A. N.)…
Être maire et au nom de sa seule appartenance et sensibilité politiques refuser de façon dogmatique et doctrinale de gouverner la ville au nom de la population plurielle et diverse. Y compris de vivre son rôle et sa mission de façon partiale et partielle ce qui touche l’ensemble des domaines d’action sécurité, équipements, moyens, politique, finance Le maire est le maire de tous ses habitants de la ville et non seulement de ceux de sa sensibilité politique…
Un ministre doit aussi savoir se tenir et tenir son rôle et sa mission et veiller à respecter ses engagements notamment dans le cadre des fonctions de Ministre de l’Intérieur et celle de la Justice constamment prises en défauts parce leurs acteurs sont olus dans la communication et coups de mentons que dans l’action et la mise en place et en œuvre de solutions…
Pareil pour notre Président de la République qui trébuche à chaque pas tans sa vision politique est brumeuse, fumeuse, inadaptée aux situations politiques et sociales qui se produisent… Il provoque lui-même les situations qu’il a du mal à solutionner… Mal conseillé, mal aidé, d’autant qu’il pêche beaucoup par ignorance en matière de ressources humaines, il reste et demeure un manager autocrate, solitaire, autoritaire, intervenant là où il ne devrait pas et se contredisant du jour au lendemain tant il ne maîtrise rien sauf à donner le change et procrastiner et jouer au donneur de leçon lorsqu’il s’est planté pour se rattraper, en plus avec une fierté et un amour-propre mal géré… Son voyage au Maroc quelle qu’en soit l’issue est la preuve manifeste de ses mauvais choix notamment pour ses accompagnateurs dont Belatar humoriste à 2 balles, qui se fait de la publicité gratuitement sans le mériter…
On peut y ajouter les erreurs notoires manifestes de diplomatie de la France face au conflit Israélo-palestinien qui témoigne là aussi de l’illettrisme faramineux d’Emmanuel Macron de ce point de vue… C’est quand même fou de vouloir s’acheter un inconfort politique en condamnant l’action d’un Pays qui depuis des décennies est « persécuté » d’exister… De plus c’est ce pays démocrate qui est attaqué par les arabes depuis des lustres et notamment le 7 octobre. C’est aussi vrai comme le nez au milieu du visage que Israël et infiniment petit en face des dizaines de pays arabes autour de lui amis et/ou ennemis. Les arabes de Palestine veulent l’éradication totale des juifs et d’Israël. Comment peut-on négocier avec des ennemis pareils… Il ya le Hamas, puis le Hezbolah au Liban qui se niche tel un termite dans ce pays et est soutenu par L’IRAN… Quand à la Finul elles est installée de telle manière qu’elle est s’est laissée prendre au piège hezbolien et sert de bouclier au Hezbolah… Ce qui permet ainsi d’accuser Israël d’attaquer les casques bleus… Le HAMAS pratique la même chose avec la population civile à GAZA… On veut certes qu’Israël cesse le feu, mais on se fiche comme l’an 40 que le Hezbolah attaque et envoie quotidiennement des missiles, pareil pour le HAMAS à Gaza… Par contre on oublie les otages…. Si les arabes voulaient la paix , pourquoi ne libèrent-ils pas tout de suite les otages.. La Guerre s’arrêterait vite ainsi….Je suis effrayé de ce manque de lucidité, et surtout de cette mauvaise foi et malhonnêteté intellectuelle et morale de l’ensemble de ces pseudos dirigeants dont le notre en France qui gèrent le monde…
De même on parle de morts mais entre temps on oublie l’Ukraine et la la Russie qui n’en finissent pas de multiplier les morts par centaines et ce depuis déjà 3ans….
Quant à la violence gratuite dans laquelle nous vivons avec le narcotrafic, les couteaux, les sabres, les bagarres de rues et les voitures bêlier et j’en passe sachant que nous avons certes une police mais nous la piégeons en l’empêchant de faire son métier de maintien de l’ordre en la sommant de veiller à ne pas trop utiliser ses armes, ou en la culpabilisant de ne pas faire sous peine de police des polices et autres stratagèmes… Pareil que pour les fautes d’obtempérer où on préfère laisser se sauver le sujet plus que de le prendre… Enfin la violence appelle la violence…
Nous n’en finissons pas et je lisais ce poème de Victor Hugo qui parle de notre PATRIE , cette France qui souffre et que nous voudrions sauve et vivante, et debout. Philippe De VILLIERS dans son livre Mémoricide, livre fort bien écrit nous sensibilise à ce danger que nous courrons si nous ne sommes pas vigilants et que notre Président de pacotille s’emploie à piétiner par ses actions…GUY MORENO
QUE LES PETITS LIRONT QUAND ILS SERONT GRANDS
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De le redire, et c'est le grand cri de mon âme,
Quiconque fait du mal à ma mère est infâme.
En quelque lieu qu'il soit caché, tous mes souhaits
Le menacent; sur terre ou là-haut, je le hais.
César, je le flétris; destin, je le secoue.
Je questionne l'ombre et je fouille la boue;
L'empereur, ce brigand, le hasard, ce bandit,
Eveillent ma colère; et ma strophe maudit
Avec des pleurs sanglants, avec des cris funèbres,
Le sort, ce mauvais drôle errant dans les ténèbres;
Je rappelle la nuit, le gouffre, le ciel noir,
Et les événements farouches, au devoir.
Je n'admets pas qu'il soit permis aux sombres causes
Qui mêlent aux droits vrais l'aveuglement des choses
De faire rebrousser chemin à la raison;
Je dénonce un revers qui vient par trahison;
Quand la gloire et l'honneur tombent dans une embûche,
J'affirme que c'est Dieu lui-même qui trébuche;
J'interpelle les faits tortueux et rampants,
La victoire, l'hiver, l'ombre et ses guet-apens;
Je dis à ces passants quelconques de l'abîme
Que je les vois, qu'ils sont en train de faire un crime,
Que nous ne sommes point des femmes à genoux,
Que nous réfléchissons, qu'ils prennent garde à nous,
Que ce n'est pas ainsi qu'on doit traiter la France,
Et que, même tombée au fond de la souffrance,
Même dans le sépulcre, elle a l'étoile au front.
Je voudrais bien savoir ce qu'ils me répondront.
Je suis un curieux, et je gênerai, certes,
Le destin qu'un regard sévère déconcerte,
Car on est responsable au ciel plus qu'on ne croit.
Quand le progrès devient boiteux, quand Dieu décroît
En apparence, ayant sur lui la nuit barbare,
Quand l'homme est un esquif dont Satan prend la barre,
Il est certain que l'âme humaine est au cachot,
Et qu'on a dérangé quelque chose là-haut.
C'est pourquoi je demande à l'ombre la parole.
Je ne suis pas de ceux dont la fierté s'envole,
Et qui, pour avoir vu régner des ruffians
Et des gueux, cessent d'être à leur droit confiants;
Je lave ma sandale et je poursuis ma route;
Personne n'a jamais vu mon âme en déroute;
Je ne me trouble point parce qu'en ses reflux
Le vil destin sur nous jette un Rosbach de plus;
La défaite me fait songer à la victoire;
J'ai l'obstination de l'altière mémoire;
Notre linceul toujours eut la vie en ses plis;
Quand je lis Waterloo, je prononce Austerlitz.
Le deuil donne un peu plus de hauteur à ma tête.
Mais ce n'est pas assez, je veux qu'on soit honnête
Là-haut, et je veux voir ce que les destins font
Chez eux, dans la forêt du mystère profond,
Car ce qu'ils font chez eux, c'est chez nous qu'on le souffre.
Je prétends regarder face à face le gouffre.
Je sais que l'ombre doit rendre compte aux esprits.
Je désire savoir pourquoi l'on nous a pris
Nos villes, notre armée, et notre force utile;
Et pourquoi l'on filoute et pourquoi l'on mutile
L'immense peuple aimant d'où sortent les clartés;
Je veux savoir le fond de nos calamités,
Voir le dedans du sort misérable, et connaître
Ces recoins où trop peu de lumière pénètre;
Pourquoi l'assassinat du Midi par le Nord,
Pourquoi Paris vivant vaincu par Berlin mort,
Pourquoi le bagne à l'ange et le trône au squelette;
France, je prétends mettre sur la sellette
La guerre, les combats, nos affronts, nos malheurs,
Et je ferai vider leur poche à ces voleurs,
Car juger le hasard, c'est le droit du prophète.
J'affirme que la loi morale n'est pas faite
Pour qu'on souffle dessus là-haut, dans la hauteur,
Et qu'un événement peut être un malfaiteur.
J'avertis l'inconnu que je perds patience;
Et c'est là la grandeur de notre conscience
Que, seule et triste, ayant pour appui le berceau,
L'innocence, le droit des faibles, le roseau,
Elle est terrible; elle a, par ce seul mot: Justice,
Entrée au ciel; et, si la comète au solstice
S'égare, elle pourrait lui montrer son chemin;
Elle requiert Dieu même au nom du genre humain;
Elle est la vérité, blanche, pâle, immortelle;
Pas une force n'est la force devant elle;
Les lois qu'on ne voit pas penchent de son côté;
Oui, c'est là la puissance et c'est là la beauté
De notre conscience,--écoute ceci, prêtre,--
Qu'elle ne comprend pas qu'un attentat puisse être
Par quelqu'un qui serait juste, prémédité;
Oui, sans armes, n'ayant que cette nudité,
Le vrai, quand un éclair tombe mal sur la terre,
Quand un des coups obscurs qui sortent du mystère
Frappe à tâtons, et met les peuples en danger,
S'il lui plaisait d'aller là-haut l'interroger
Au milieu de cette ombre énorme qu'on vénère,
Tranquille, elle ferait bégayer le tonnerre.
VICTOR HUGO [Edité par Guy MORENO-Ciniicien d'Entreprise]