SERIONS-NOUS À CE POINT ANESTHÉSIÉS, INCURABLEMENT IMMOBILES, QUE CHIENLIT ET CHAOS VAINCRAIENT NOTRE ÂME DE BATISSEURS D’UN MONDE LIBRE ET FRATERNEL !!

Saint Augustin (Algérie : 430 AP. JC.) dénonçait déjà ; >> A force de tout voir, on finit par tout supporter…, A force de tout supporter, on finit par tout tolérer…, A force de tout tolérer, on finit par tout accepter…, A Force de tout accepter, on finit par tout approuver…>>

Préambule/Avertissement ;

Dans le regard que je porte sur notre vie quotidienne que ce soit au plan social, économique, politique, et la pagaille étonnamment chaotique, voire « bordelique » si l’on veut être trivial, et à la lecture de cette citation de S’ Augustin, tout me laisse à penser que depuis la disparition du Général De Gaulle et de cette catégorie d’Hommes Politiques dont il était le Chef de File et l’EXEMPLE (et ce quelles que furent défauts et faiblesses Droite et Gauche confusément), nous restons étrangement orphelins et dépourvus du socle solide sur lequel était posée cette France Universelle des Lumières et son Passé glorieux (pour moi, du moins), et qui tel un Phare, dans la nuit au milieu de la Mer, transmet à ce MONDE qui le croise des flash de lumières d’ESPOIR, DE LIBERTÉ, DE FRATERNITÉ, DE DÉMOCRATIE, D’ORDRE ET D’UNITÉ.

Depuis et après Mitterrand les Pseudos Héritiers du trône, soit furent maladroits et manquaient de cette étoffe qui fait UN CHEF D’ETAT, soit la » taille industrielle » de leur Costume et/ou Dimension humaine avaient la même apparence que celle du costume du sketch de Fernand Raynaud, fameux humoriste des années 60/70…Tous ces Héritiers et/ou dauphins prétendus ou autoproclamés furent de mon propre avis [et pourtant je ne suis ni Gaulliste, sauf respectueux de L’HOMME qu’il fut, aussi imparfait soit-il ?, ni de Gauche, ni d’Extrême quelque chose… Non je suis Humblement homme de droite libéral/humaniste RPR/UMP/LR depuis 60 ans, fort déçu de tous ceux qui incarnent la politique de ces 5 décennies°] peu représentatifs d’une telle Responsabilité Suprême, et tous faillirent en déconstruisant savamment les trésors économiques, industriels, militaires, et le Capital Image de la France, parfois même en l’éradiquant comme le Nucléaire par exemple…

Cet article est le ressenti d’une colère sourde intérieure devant ces palinodies, guignolades, tartarinades, raffarinades, preuves lamentables, pitoyablement pathétiques, grotesques et honteuses d’une expression concrète et manifeste de l’IMMATURITÉ et de l’ INADÉQUATION Sociales, Individuelles et Collectives d’un Peuple et de ses Gouvernants toujours en « culottes courtes » et jouant en cours d’école maternelle et/ou Centre Aéré…

L’Allégorie du Syndrome de la Grenouille ;

Si nous imaginons avoir rempli une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage une Grenouille très naturellement. La marmite repose sur un feu et l’eau chauffe doucement graduellement. Bientôt tiède, l’eau de la marmite semble plutôt agréable pour l’animal qui continue de nager sans méfiance. La température continue de grimper. L’eau devient chaude, plus que n’apprécie la Grenouilles qui montre des signes de fatigues et/ou d’endormissement mais toujours sans s’affoler pour autant… Mais l’eau est cette fois vraiment chaude ; L’animal trouve cela désagréable, mais s’étant affaiblie et manquant du ressort nécessaire pour sauter dehors, elle supporte et ne fait rien sauf rester prisonnière de sa torpeur… La température continue de monter, jusqu’au moment où elle finira tout simplement par être tétanisée ou paralysée et finira par cuire et mourir. Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée aussitôt de la marmite. Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart de temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.

J’en arrive ainsi, en comparant la situation et les conditions vécues par la Grenouille dans la marmite à notre configuration d’humains baignant et nageant dans notre aquarium d’humains et soumis, grâce et/ou à cause de NOUS TOUS, malgré Nous et/ou selon notre bon vouloir, à penser que nous fonctionnons comme Elle depuis 5 décennies au moins…L’eau de ce grand bassin humain de froide, s’est tiédie, puis devenue plus chaude et a eu raison de nos désirs et besoins frustrés et déçus, de nos espoirs et moteurs d’action castrés, de nos rêves et projections transformés en cauchemars et/ou en impossible…Puis l’eau s’est mise à bouillir et a même anesthésié, paralysé, mis sous scellés nos tripes au point que colère, frustrations, envie d’en découdre, fureur et agressivité refoulées se transforment en manifestations plus ou moins hostiles, voire plus ou moins marches blanches (comme celles que l’on fait pour commémorer et/ou en protestation après la perte d’êtres chers) autant de signes distinctifs de la peur d’affronter physiquement et de l’impuissance de chacun...Tout cela est inaudible, et invisible et bénéficie aux Dirigeants inopérants, carents, et poursuivant la gestion des affaires avec incompétence et vacuité totales, et méprisants à l’égard du Peuple qui les a élus et persiste à voter pour eux malgré tout…

Nous sommes en phase terminale de cuisson et n’allons pas tarder de mourir si nous ne nous réveillons pas !!

Si nous regardons toujours par analogie avec l’allégorie de la Grenouille, il est stupéfiant et décourageant, tout à la fois, de voir que des tas d’évènements, de situations, circonstances, de modes de vie et comportement humains et tant de choses encore qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30, 40, 50 ans, aujourd’hui, grâce à l’évolution des mœurs ont été banalisées, édulcorées et ne nous dérangent que mollement à ce jour… voire nous laissent quasi carrément indifférents… Depuis des décennies la Société et les us et coutumes sociaux ont volés en éclat déconstruisant et/ou dessoudant, au nom du progrès, de la modernité, des maillons d’une chaîne qui unissaient hommes et femmes dans le Mariage/Institution Familiale qui de nos jours devient une option quelconque, synonyme d’engagement solide pour les 2 éléments d’un couple qui engendrait la procréation et promouvait natalité naturelle… Ceci était aussi la promesse d’une participation à la vie sociale, à la promotion de la propriété, la transmission patrimoniale et plus loin encore la participation au développement pérenne de la Nation… Si la Société a éclaté, puis la Famille, puis le Travail, notre relation à celui-ci a aussi été détruit au point d’en faire moins une identité professionnelle et statut social gratifiant par l’image d’un METIER/COMPETENCE/SAVOIR-FAIRE qu’un emploi purement alimentaire et usant… Le fait notoire de l’émancipation de la FEMME[ mon propos n’étant nullement celui d’un reproche, et/ou contestation virile, ou machiste, ou de condamnation mais d’analyser un fait qui a profondément changer le mode de fonctionnement sociologiquement, psychologiquement, socialement, sociétalement parlant des rapports humains Homme/Femme, auquel se surajoute vers les années 60/70 l’entrée massive de la Femme dans le monde du Travail… Oui la Femme qui jusque-là dépendait totalement ou presque de l’homme Chef de Famille, et travaillait pour peu ou à temps partiel et/ou pour agrémenter les ressources familiales, devenait un ACTEUR plein et entier dans le monde du travail et souvent rivalisait avec l’homme qui à l’époque n’aimait pas trop ce type de situation…En tant qu’ancien Chasseur de Tête pour les Entreprises, j’affirme que nous n’avons pas su bien gérer et digérer l’introduction de la Femme dans le monde de l’Entreprise et du Travail… Avec le fait de l’émancipation sociale et sociétale de la FEMME ce sont 2 faits majeurs qui aujourd’hui encore continuent de nous poser problème sociétal…] demeure encore une question à moultes inconnues en suspens de nos jours, que cela déplaise ou non à ceux qui me liront et pourraient ne pas l’admettre…

Toujours AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l’intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s’effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies. Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de la vie décadente, voire DRAMATIQUE.

Il est révoltant de voir au point où nous en sommes rendus. Nous relativisons tout, procédant d'une attitude de personnage blasé de la vie des hommes et des Bêtes... Nous faisons comme si rien n'était et/ou n'avait de l'importance, tels les doigts d'honneur de Dupont-Moretti, les Guignolades de L'Assemblée nationale, les foires d'empoigne qui surviennent entre des Élus salissant leur mandat d'élu, les mensonges permanents de nos Gouvernants et le Mépris qu'il nous gratifie... C'est affligeant de voir ce relativisme, cette façon de s'acheter une bonne conscience à peu de frais, ou "de se laver les mains" ou de penser "après moi le déluge"... Où allons-nous? Que nous réserve l'avenir?

LE GAVAGE PERMANENT d’information dite « politiquement correcte » de la part des médias sature les cerveaux qui n’arrivent plus à faire la part des choses. Lorsque j’ai annoncé ces choses pour la première fois, c’était pour demain. Là, C’EST POUR AUJOURD’HUI.

La détérioration silencieuse qui nous fait feindre que tout va bien, Quand la détérioration émotionnelle est très lente, elle passe inaperçue, même pour nous-même. Cela justifie que nous ne réagissions pas, que nous ne nous opposions pas. Nous finissions par nous étouffer, car nous respirons un air toxique qui nous empoisonne petit à petit. Quand un changement se produit de manière suffisamment lente, il échappe à la conscience. Il ne provoque donc aucune réaction ou opposition. Ainsi, il est habituel d’être victime du syndrome de la grenouille cuite dans certaines relations de couple, au travail, dans la famille, avec les amis ou même au niveau macrosocial.

Quand la dépendance, l’orgueil, l’égoïsme ou les exigences se manifestent au compte-goutte, il est difficile de nous rendre compte de ce qui est nocif, et que cela peut nous faire stagner voire nous détruire.

Nous pouvons même ressentir du plaisir à ce que notre partenaire ait besoin de nous à tout moment. Que notre chef ait confiance en nous et nous confie des tâches. Ou bien que notre meilleur ami nous demande de l’attention constamment. Cependant, à la longue, les exigences réduisent notre capacité de réaction et de réponse. Faisant que nous épuisons nos forces et nos capacités à voir qu’il ne s’agit pas du tout d’une relation saine

Ce processus d’adaptation silencieuse nous détériore et prend le contrôle de nos vies, petit à petit, de manière subtile.

Cela nous empêche d’être conscient et de nous préparer à donner une réponse qui s’ajusterait véritablement à nos besoins. C’est pour cela qu’il est essentiel de faire un effort conscient pour garder les yeux ouverts et évaluer ce que nous souhaitons. Il n’y a qu’ainsi que nous pourrons enlever de la valeur à ce qui détériore nos facultés. Nous ne pouvons grandir que si nous sommes prêts à nous sentir inconfortables pendant un moment.

Car nous mettre en marche et faire valoir nos droits est quelque chose qui ne plaît pas toujours à ceux qui sont autour de nous. Puisqu’ils vivent en étant habitués à ce que nous nous conformions et notre changement d’attitude n’est pas agréable pour eux. Souvenez-vous que parfois, un “assez !” vous aidera à garantir votre bien-être émotionnel. Et ainsi à sauvegarder votre amour-propre, votre dignité et vos intérêts.

Ainsi voilà 5 décennies que nous baignons dans cet aquarium dans lequel l’eau dans laquelle nous nageons devient peu à peu remplie d’algues et de vase qui croupissent et atteignent notre équilibre général et nous anesthésie ainsi depuis des années nous vivons les phénomènes ci- après tels que Effacement de la France, autodafés au nom du bien, multiplication des concessions wokistes, haine de la science, retour de la pensée magique, médiocrité du personnel politique, presse aux ordres du capital, guerre civile à bas bruit, renoncement au débat, disparition du livre, généralisation de l'illettrisme, tyrannie des écrans, délires animalistes, guignolades des élus écologistes, naissance d'une gauche Thénardier, droite singeant la gauche, mort du service public, dictature des sondages, pape déconstruit, vassalisation du pays, délires germanopratins, éducation des adultes par les enfants, criminalisation de la police, célébration de la délinquance, inculture du corps enseignant, chasse aux Blancs, punition du bien, apologie du mal, endoctrinement sexuel des enfants, subversions en peau de lapin, surenchères nihilistes, propagande par le cinéma, épurations sémantiques, Politique d’immigration irresponsable et créatrice d’un déséquilibre social et créant le chaos, l’intrusion perverse et envahissante d’un Islam Radical conquérant détruisant notre Laïcité , gréviculture et terrorisme social des syndicats bloquant le pays, culture de la dette publique, faillite de la Santé Publique et Libérale, Faillite des Images de L’Autorité Institutionnelle etc…

Un peu comme la grenouille, l’être humain a le réflexe de fuir rapidement les situations dangereuses, les contextes malsains. Par contre, s’il baigne dans un environnement qui devient graduellement malsain, qu’il en soit conscient ou pas, il s’adapte, même si ça implique que son identité et son intégrité sont en danger. On pourrait appliquer la métaphore de la grenouille aussi bien dans la vie personnelle, familiale que dans la vie professionnelle de tout un chacun.

L’adaptation est un réflexe viscéral qu’on développe depuis l’enfance. Parfois, on peut avoir développé une stratégie excessive pour survivre à certaines situations, mais jusqu’où sommes-nous vraiment conscients des limites de cette stratégie? Donc, on s’adapte en espérant qu’avec le temps, on pourra changer le contexte. Se croyant détenteur d’une bonne partie de la vérité et des solutions, on rencontre de nombreuses frustrations et déceptions. On peut alors s’approcher dangereusement du seuil critique, c’est-à-dire atteindre un niveau de frustration, de tristesse et de désillusion si élevé que nos ressources personnelles ne sont plus disponibles. Et alors, il devient pratiquement impossible de sortir de la marmite du harcèlement psychologique, par exemple.

Sortir de l’eau bouillante… Comme vous l'avez compris, la métaphore de la grenouille montre que dans la situation de harcèlement psychologique, si le mode d’action du harcèlement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.

Le principe de la grenouille dans la marmite d’eau est un piège dont on ne se méfie jamais assez si l’on a pour idéal la recherche de la qualité, de l’amélioration, du perfectionnement et si l’on refuse la médiocrité, le statu quo, le laisser-faire. (Guy MORENO Clinicien d’Entreprise)