ANALYSIS MENTOR
Guy Moreno
« Une Vision Clinique du monde des Humains et de L’entreprise »
ISRAËL MARTYR DE L’IGNOMINIE DE L’ISLAMISME RADICAL ET FANATIQUE…

Je suis dégouté et profondément écœuré des comportements, des attitudes, des conduites, des postures aussi du fonctionnement immoral, immature, malhonnête intellectuellement et socialement même politiquement d'une partie fort importante de notre HUMANITÉ à l'égard du Peuple JUIF et/ou Israélien qui toute son existence s'est battu sans relâche pour avoir le droit d'EXISTER sur notre Planète...Il se joue depuis des siècles comme un film surnaturel  à la Spielberg et/ou "L'APOCALYPSE" de Coppola dans lequel un "Contrat" serait lancé sur "la Vie et/ou Tête" de ce malheureux peuple, destiné à périr...C'est atroce, pitoyable, et profondément injuste et injustifié et tellement lâche, inhumain, surtout lorsque l'on prétend être "Habité et/ou Incarner" de grands sentiments moraux et de grands principes d'Ouverture d'esprit et de cœur.!!!

Le 7 octobre 2023 restera à jamais gravé dans l’histoire et la mémoire du peuple juif comme  le JOUR de l'horreur absolue, mais aussi comme l’une des perles tragiques d’un Chapelet de blessures, de morsures, de déchirures, de fractures, presque toujours mortelles pour la plupart, sinon ont atteint et marqués de leur empreinte guerrière l’esprit et le cœur de ce peuple presque signé pour la « persécution » … Un vrai chemin de croix !!

C’est ainsi que l’on ne peut écarter les références au fait religieux…Jésus n’est-il pas Juif ? Il est aussi le « fils de Dieu» et symbole de cordon humain entre Dieu et les Hommes…

- Du point de vue du Christianisme , la terre d’Israël était quelque part le projet d’une « terre promise » et cette notion est réinterprétée dans le Nouveau Testament et parfois également utilisée par les chrétiens en référence à la Jérusalem céleste, au paradis, au Royaume des cieux, séjour des âmes sauvées par le sacrifice en Jésus-Christ.

  • La Terre promise représente ce que dès la Genèse, la Torah ou Bible hébraïque désigne sous le nom de « Terre d'Israël » dans le pays de Canaan, « pays où coulent le lait et le miel », qui, selon les textes, fut promise par Dieu au patriarche hébreu Abraham et à sa descendance par Isaac et Jacob, comme une promesse de vie. Sans figurer littéralement dans les textes bibliques, l'expression est fortement suggérée par plusieurs passages en Genèse, Exode, Deutéronome, Nombre, Josué, Ezéchiel…

( Promesse faite à Abraham « Ce jour-là, l’Éternel conclut avec Abram une Alliance, en disant : "J’ai octroyé à ta race ce territoire, depuis le torrent d’Égypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve d’Euphrate..." » - Genèse 15:18 « Et Je donnerai à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaan, comme possession indéfinie » - Genèse17:8

- Du point de vue Judaïsme ; Pour les Juifs à travers l'histoire et dans les contextes modernes, le concept spirituel de Terre promise envoie à l'idée de restauration de la patrie pour les enfants d'Israël vivant en Palestine et en diaspora, de salut8, d'indépendance et de liberté ; c'est une image d'espoir enracinée dans la culture et la religion juives.  À la fin du XIXe siècle, ce concept de « Terre promise » s'incarne dans le sionisme inspiré par Théodore Herzl, permettant d'accomplir la promesse divine.

Dans Gen 15:18-2110, la frontière de la Terre promise est désignée en termes de territoire de divers peuples antiques : «Ce jour-là, l’Éternel conclut avec Abraham un pacte, en disant : "J’ai octroyé à ta race ce territoire, depuis le torrent d’Égypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve d’Euphrate : le pays des Qénites, des Qenizzéens, des Qadmonéens, des Hittites, des Phérézéens, les Rephaïm, des Amorrites, des Cananéens, des Ghirgachéens et des Jébuséens" » Ce verset décrit ce que l'on appelle les « frontières du pays » ((he)Gevulot Ha-aretz)11. Dans la tradition juive, ces frontières définissent l'étendue maximale de la Terre promise aux descendants d'Abraham par son fils Isaac et petit-fils Jacob

  • Naissance d’ISRAËL ; 1881-1947 : les racines de l’idée d’un État juif. C’est en Russie que l’idée d’un État juif prend naissance. Après l’assassinat du tsar Alexandre II, le 13 mars 1881, une partie de la population accuse les Juifs d’être responsables de la mort de leur dirigeant et lancent une série de pogroms (attaques antisémites accompagnées de pillages et de meurtres) de 1881 à 1884. Des milliers de résidences et de commerces sont pillés, des centaines de personnes périssent. En réaction, quelques étudiants et rabbins créent le mouvement Hibbat Zion en hébreu, « Les amants de Sion ». Le médecin d’Odessa Léon Pinsker en prend la tête. Un peuple sans territoire est comme un homme sans ombre, écrit-il en 1882, dans son ouvrage Auto-émancipation, publié en Allemagne et dans lequel il jette les bases du mouvement sioniste (le terme ne sera cependant utilisé qu’à partir de 1890) : Il y a une absence chez le peuple juif de la plupart des attributs d’une nation. (…) Le Juif est considéré par les vivants comme un mort, par les autochtones comme un étranger, par les indigènes sédentaires comme un clochard, poursuit-il. Ces réflexions trouvent un écho en Europe de l’Ouest, alors que l’affaire Dreyfus divise la France à partir de 1894. « La solution au problème juif, c’est la création d’un État juif », écrit le journaliste autrichien Theodor Herzl en 1896 dans un texte intitulé Der Judenstaat (en allemand : « l’État des Juifs »). En 1897, Herzl préside le premier congrès sioniste à Bâle (Suisse). Il écrira quelques jours plus tard dans son journal : À Bâle, j’ai créé l’État juif.
  • Mais où installer cet État ? Les premières installations en Palestine. Si différentes possibilités sont évoquées (Kenya, Argentine…), c’est en « terre d’Israël », berceau du peuple juif en Palestine selon la Bible, que se tournent les sionistes. La région est sous domination ottomane depuis le XVIe siècle. En 1880, on compte 24 000 Juifs en Palestine – principalement des religieux – pour 482 000 habitants. Dans les années 1880-1890, le mouvement Hibbat Zion organise les premières alyas (émigration de Juifs vers Israël) : près de 30 000 Juifs s’installent en Palestine. Mais les conditions sont rudes et la misère omniprésente. Nombre d’immigrants rentrent dans leur pays d’origine après un an. Au début du XXe siècle, le Fond national juif, créé à Bâle en 1901, récolte des fonds pour l’achat de terres en Palestine. L’initiative suscite un engouement de la part de la diaspora du monde entier. Le rachat progressif des terres provoque les premières tensions avec les Arabes, chrétiens et musulmans, implantés depuis plusieurs siècles. En 1914, le pays compte entre 60 000 et 90 000 Juifs pour environ 800 000 habitants.
  • Le rôle décisif de la Grande-Bretagne ; Le 2 novembre 1917, un événement majeur va changer la face du Moyen-Orient. En pleine guerre, le ministre des Affaires étrangères britannique, Arthur Balfour, adresse un courrier à l’un des leaders du mouvement nationaliste juif au Royaume-Uni, Lord Walter Rothschild : Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif. Les Britanniques placent ainsi leurs pions dans l’optique de l’après-guerre : ils lorgnent sur les terres de l’Empire ottoman et notamment sur la Palestine qui leur offrirait une situation privilégiée dans la région, près du canal de Suez. Avec cette déclaration Balfour, la première puissance européenne légitime ainsi le sionisme en Palestine.
  • En 1920, le traité de Sèvres démantèle l’Empire ottoman, vaincu à la fin de la Première Guerre mondiale, et la Société des Nations (SDN) place la Palestine sous mandat britannique. Cependant, les Britanniques ont fait beaucoup de promesses dans la région. Dès 1916, par la voix de Henry McMahon, haut commissaire britannique du protectorat sur l’Égypte, ils avaient déjà concédé au chérif de La Mecque, Hussein ben Ali, la création d’un royaume arabe en échange de la révolte de ses troupes contre l’Empire ottoman. Une promesse vite oubliée : le 24 juillet 1922, lorsque la SDN octroie à la Grande-Bretagne un mandat sur la Palestine, l’article 2 précise que le mandataire assumera la responsabilité d’instituer dans le pays un état de choses politique, administratif et économique de nature à assurer l’établissement du foyer national pour le peuple juif. Il n’y est nullement fait mention d’un État arabe ni même d’un peuple arabe.

Dès lors, la population juive en Palestine augmente considérablement. Les restrictions de l’immigration aux États-Unis au milieu des années 1920 et la montée du nazisme en Allemagne dans les années 1930 encouragent les alyas. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, les Juifs constituent près d’un tiers des 2 millions d’habitants de Palestine.

  • Après la Shoah, la Terre promise ; Pendant la Seconde Guerre mondiale, entre 5 et 6 millions de Juifs sont exterminés au cours du génocide perpétré par les nazis. À la fin du conflit, les rescapés se tournent notamment vers la Palestine, toujours sous mandat britannique. Mais, depuis 1939, en réponse à une série de révoltes arabes, le Royaume-Uni a drastiquement limité les possibilités d’immigration.

Sur le terrain, la tension monte. Le 22 juillet 1946, l’organisation nationaliste juive Irgoun attaque à l’explosif l’hôtel King David, où sont installés les bureaux du gouvernement britannique. L’attentat fait 91 morts. Un autre événement va précipiter les choses : en juillet 1947, le navire Exodus arrive près des côtes palestiniennes avec, à son bord, 4 500 Juifs rescapés de la Shoah. Le bateau est intercepté par les forces navales britanniques. Il est finalement acheminé vers Hambourg (Allemagne) où les passagers sont débarqués dans des camps de rétention. En tout, près de 50 000 candidats à l’immigration seront déboutés et détenus derrière des barbelés. L’image est désastreuse pour le gouvernement britannique, totalement dépassé. Au point qu’il décide de confier son mandat sur la Palestine à la toute jeune organisation des Nations unies. Le 22 novembre 1947, un plan de partage de la région est soumis au vote des membres de l’ONU. Il propose la création de deux États : l’un juif (sur 55 % du territoire), l’autre arabe (sur 45 % du territoire), ainsi que la mise sous contrôle international de Jérusalem. Tous les pays arabes s’y opposent, mais l’URSS et ses satellites, pourtant hostiles au sionisme, votent pour le projet. Staline y voit l’opportunité de profiter de la faiblesse britannique pour accroître son influence dans la région. Le 14 mai 1948, le mandat britannique s’achève officiellement. L’État d’Israël est né.

  • 1948-1967 : Israël, un État construit dans la guerre ; Indépendance et Nabka ; Le jour de la création d’Israël, au milieu de la liesse populaire, David Ben Gourion aurait glissé au jeune Shimon Peres, futur Premier ministre : Tu vois, aujourd’hui, ils dansent, mais, demain, ils verseront leur sang. Le 15 mai 1948, dès le lendemain de la déclaration d’indépendance, les troupes de plusieurs pays membres de la Ligue arabe (Égypte, Irak, Jordanie, Liban, Syrie, Yémen) envahissent la Palestine. En janvier 1949, Israël remporte la guerre, notamment grâce aux armes fournies par l’URSS via la Tchécoslovaquie. Sa superficie s’agrandit d’un tiers pour atteindre 78 % du territoire. Jérusalem est coupée en deux : l’est pour la Jordanie, l’ouest pour Israël, qui la désigne comme capitale. La Palestine est démantelée : sur les bords de la Méditerranée, la bande de Gaza passe sous contrôle égyptien, la Jordanie annexe la Cisjordanie. Entre décembre 1947 et juillet 1949, près de 700 000 Arabes de Palestine, expulsés de leurs terres et leurs habitations, sont contraints de fuir. Dans le monde arabe, l’intellectuel syrien Constantin Zureiq parle de nabka, la « catastrophe ».  Le 26 juillet 1956, le canal de Suez reliant la Méditerranée à la mer Rouge – et administré par la France et le Royaume-Uni – est nationalisé par le président égyptien Gamal Abdel Nasser. Le 29 octobre, Israël attaque l’Égypte. Il s’agit d’une opération conjointe entre la France et le Royaume-Uni, qui s’inquiètent de la nouvelle alliance entre l’URSS et Nasser. Côté israélien, David Ben Gourion espère ainsi affaiblir durablement son ennemi égyptien dont les incursions sur le territoire sont fréquentes depuis 1948. L’armée israélienne parvient à s’emparer du Sinaï. Sous la pression américaine et soviétique, qui ne veulent pas voir la situation s’envenimer davantage, un cessez-le-feu est signé le 7 novembre.
  • Construire un nouveau pays ; Dès la déclaration d’indépendance d’Israël en 1948, David Ben Gourion pose un principe fondateur : L’État d’Israël sera ouvert à l’immigration des Juifs de tous les pays de leur dispersion. Le 5 juillet 1950, le parlement israélien vote la loi sur le retour qui permet à tout Juif de pouvoir immigrer et s’installer librement en Israël. Entre 1948 et 1962, plus d’un million de personnes émigrent, dont 40 % depuis l’Europe orientale et près de 30 % d’Afrique, principalement d’Afrique du Nord. Pour accueillir tous ces nouveaux venus, Israël, en proie à des difficultés économiques, va bénéficier d’une aide de la République fédérale d’Allemagne. En vertu de l’accord de réparation signé en 1952, elle s’engage à verser 3,5 milliards de marks à l’État hébreu, une indemnité couvrant les frais d’installation en Israël des victimes des persécutions du IIIe Reich. En Israël, le nouvel État se fait moteur du développement économique en se portant acquéreur de grandes industries et de terres agricoles. Un État stratège et planificateur ainsi qu’une grande quantité de main d’œuvre disponible permettent au niveau de vie de décoller durant les années 1960. En 1963, 97 % des Israéliens ont l’eau courante, 93 % s’éclairent à l’électricité et le nombre de lits d’hôpitaux passe de 4 626 en 1948 à 17 612 en 1963. Dans le même temps, la consommation privée s’est accrue de 200 % et le produit national brut de 232 % (Michel Abitbol, Histoire d’Israël, éditions Perrin, 2018).
  • Une nation en quête d’identité ; En 1956, le gouvernement lance une grande campagne d’approfondissement de la « conscience juive » en enseignant aux élèves le calendrier hébraïque, la Bible, les fêtes religieuses ou encore les grands personnages juifs dans l’histoire. Il créé également, en 1959, la Journée de la Shoah et de l’héroïsme au 27 Nissan (1er mois du calendrier juif, généralement en avril ou en mai). En mai 1960, Adolf Eichmann, haut fonctionnaire nazi et organisateur de la Solution finale, est arrêté en Argentine par des agents du Mossad. Il est transféré à Jérusalem pour être jugé par un tribunal israélien. À partir du 11 avril 1961, plus de 2 millions d’Israéliens écoutent quotidiennement à la radio la retransmission de son procès. Pendant plusieurs semaines, des centaines de témoignages décrivent l’horreur des camps d’extermination. Eichmann est condamné à mort, puis pendu le 1er juin 1962. Avec le retentissement mondial de ce procès, le souvenir de la Shoah devient un élément majeur de l’identité israélienne

EN résumé ; La création par l’ONU, en 1948, d’un État juif est d’abord le fruit de la détermination des sionistes à bâtir un « foyer national juif ». Les premières installations de nationalistes et de religieux juifs débutent à la fin du XIXe siècle en Palestine, alors sous administration ottomane. Après la Première Guerre mondiale, la Palestine passe sous la coupe de la Grande-Bretagne, qui se retrouve vite dépassée par une guerre civile judéo-arabe coûteuse. Londres s’en remet à l’ONU, qui adopte un plan de partage du territoire en deux États en 1947.

        Si l’État arabe ne voit pas le jour, l’État d’Israël est rapidement reconnu sur la scène internationale et bénéficie, en outre, dans les années 1960, d’un dynamisme      économique important. Mais son existence est contestée par ses voisins et l’expulsion de 700 000 Arabes de Palestine de leurs terres entre décembre 1947 et juillet 1949 accentue le ressentiment.

Attentats et actes de sabotages se multiplient. En mai 1964 naît l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) qui prône la lutte armée contre Israël. Une deuxième phase de l’existence d'Israël débute alors, secouée par des affrontements avec de multiples acteurs palestiniens mieux organisés, mais aux objectifs politiques parfois divergents, et marquée par des tentatives de paix avec ses ennemis.

Cette longue route depuis sa naissance parsemée de guerres et combats durs et périlleux pour survivre, perdurer, défendre son existence, inscrire et signer son identité au même titre que le moindre Pays et/ou Peuple existant sur cette planète « Terre »et sans distinction de race, de religion, de couleur de peau,  mérite d’être souligné et intégré par TOUS ET TOUTES ces HUMAINS du Monde entier, et notamment l’ensemble de mes concitoyens, et/ou compatriotes, et/ou Celles et ceux qui en France s’évertuent à donner de la voix, et/ou crier haut et fort, et/ou s’ériger professeur et défenseur des droits de l’homme et du citoyen, en vociférant au sein d’Endroits où la DIGNITÉ, le SENS DE L’HONNEUR, LE SAVOIR-ÊTRE ET LE SAVOIR-FAIRE POLITIQUE ET MORAL, LE RESPECT DE SOI  ET DU MANDAT DÉTENU EXERCÉ, LE COURAGE ET L’APTITUDE À SAVOIR GÉRER AVEC DISCIPLINE SON EGO SURDIMENSIONNÉ, oui Tous ces Escrocs et Tartuffes que la Honte et l’inintelligence humaine et sociale étouffent de « sordidité », de fatuité, d’absurdité, de sottise sans talent !!!!

Voilà des siècles que ce peuple d’humains , élus de Dieu, cultive sa vie , conjugue sa Judéité, s’exerce et s’exprime  dans et par son Identité personnelle, sociale, professionnelle, politique, religieuse, nationale en ayant derrière LUI et devant LUI l’obligation de ne jamais oublier, omettre de  veiller à son salut et sa sécurité… Imaginons un instant, seulement un instant, la puissante densité et l’incommensurable dose de  dignité humaine, de courage, de force intérieure qu’il faut pour supporter et soutenir chaque seconde une insulte, des crachats, des épées, des couteaux, des kalachnikovs, des armes de poing, des bombes et autres qui sont pointées sur vous !!! C’est plus que de l’Héroïsme qu’il faut !!!

Imaginez ce pays d’ISRAËL sur cette poudrière qu’est la terre de Palestine depuis des lunes !!!! Israël est un petit pays encerclé et menacé de toutes ces nations Arabes et/ou Musulmanes et/ou les 2 qui ne rêvent que de le décimer, de l’ éradiquer, l’ effacer de la terre…

Alors quelle est la signification de cette générosité de cœur, ce désir frénétique de porter secours et défendre L’arabe-terroriste-Djihadiste, et ces cris de guerre de rendre justice de ces courants politiques Gauchistes et Islamo gauchistes contre celui qui est attaqué, assiégé de toute part, et, que l’on cherche à détruire ??  OUI que veut dire ce comportement homicide, assassin, terroriste, volontairement destructeur ?? Comment peut-on décemment voir cette inversion évidente des valeurs morales humaines traditionnelles du sens de la Justice et du soutien du Faible ???????                   

<<<Sur le Figaro je relevais ce qui suit et que je partage tant c’est la façon dont ressens et perçois la chose ; « L'attaque subie par Israël, et dont l’ampleur est considérable, est menée par les terroristes islamistes du Hamas et a atteint un niveau de barbarie rarement égalé. Des femmes violées, des familles enlevées, des centaines de personnes assassinées, des bébés décapités, ce paroxysme de haine est hallucinant de monstruosité.

Toutes celles et ceux qui le cautionnent, l'excusent, s'abstiennent de le condamner, sont tout autant coupables que leurs auteurs, voire se rendent complice de ce genre d’évènements !!

En France, la Justice devrait se saisir de toutes ces apologies du terrorisme et être implacable avec ceux qui tolèrent l'intolérable. « Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente où le tueur sait d'avance qu'il atteindra la femme et l'enfant. » Albert Camus avait raison mais il ne pouvait imaginer de telles abominations. L'islamisme n'est pas une cause, c'est un asservissement, une dictature, un totalitarisme, qui utilise des moyens d'une cruauté inqualifiable qui dépassent l'entendement !!!

Pour nous, Français et Européens, ces attaques résonnent comme de très douloureux souvenirs : les attentats du Bataclan, de Nice, de Bruxelles, de Madrid et tant d'autres... Nos pays n’ont pas été épargnés.

<<<Mais comment peut-il se faire que sur la période 2021-2024, l’UE ait octroyé 1,2 milliard d’euros à la Palestine sans s'assurer de la destination réelle des fonds ? Comment se fait-il que cette Autorité palestinienne n'ait pas encore condamné les horribles attaques du Hamas ? L'université de Gaza a reçu de l'UE près de deux millions d’euros depuis 2014. Mais cette faculté, fondée par les Frères musulmans, extrêmement proche du Hamas, a confié à l'un de ses chefs des postes de responsabilité. Quant au cerveau de l’attaque terroriste du 7 octobre, il en a été un étudiant assidu. 

Combien de fois nous avons dénoncé les dérives de l’Union européenne qui finance régulièrement, avec notre argent, des associations proches des Frères musulmans, parfois accueillies au Parlement européen et à la Commission européenne. Nous avons alerté à maintes reprises les différentes institutions à ce sujet. L’islamisme continue de gagner du terrain sur notre propre sol profitant de l'angélisme de nos gouvernements et de la complaisance de responsables politiques comme ceux de la France Insoumise qui, en refusant obstinément de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, se sont déshonorés et discrédités à tout jamais.

<<<Le Rassemblement National a, par contre, toujours eu le courage de combattre ce cancer islamiste. Combien de fois nous avons été critiqués, caricaturés, insultés, menacés, alors que nous étions les seuls à prendre tous les risques pour protéger les Français. Nous avons même construit toute une législation contre toutes les manifestations de l'idéologie islamiste afin d'éradiquer avec la plus grande fermeté ce mal absolu. Vivement que nos compatriotes nous confient cette lourde mais indispensable tâche !>>>GUY MORENO

Catégorie : Reflexion édité le 17 Oct 2023 à 7h16.
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